Absolument. Au Mexique, il n’existe pas de loi réglementant la GPA au niveau fédéral. Cependant, en 2021, la Cour suprême a statué que chaque individu, quelle que soit son orientation sexuelle, son état matrimonial ou sa nationalité, a le droit d’accéder à la technologie de procréation assistée pour fonder une famille. Elle a également statué que la filiation légale devrait être fondée sur la présence d’une volonté procréatrice, et non sur une relation génétique ou gestationnelle.
De ce fait, en plus des jurisprudences récentes à Mexico, où nous sommes basés, la structure gouvernementale et le registre public ont permis à FertiHaus/BabyMedic d'obtenir tout l’appui juridique nécessaire pour mener à bien sa mission depuis une décennie déjà, tout en bénéficiant du soutien total du Consulat français dans la capitale mexicaine.
En outre, depuis 2024, 3 initiatives visant à réglementer la GPA commerciale à Mexico et dans le pays entier ont été présentées au gouvernement, et on prédit qu’elles seront bientôt fructueuses.
Le Mexique, et plus particulièrement la ville de Mexico, est actuellement le meilleur endroit pour mener à bien des procédures de maternité de substitution pour des raisons politiques, éthiques et financières.
En examinant de près notre carte mondiale de la légalité de la maternité de substitution par pays, on peut remarquer que très peu d'endroits dans le monde disposent de réglementations appropriées en la matière, ce qui donne lieu à des marchés noirs où les violations des droits de l'homme prévalent du côté des gestatrices et où de lourdes escroqueries touchent continuellement les futurs parents.
De plus, certaines des destinations traditionnellement les plus populaires pour la GPA (par exemple : l'Ukraine, la Russie, l’Argentine, la Géorgie) ne sont plus opérationnelles en raison de conflits armés ou de l’instabilité politique, sans parler du fait que la grande majorité d'entre elles discriminent ouvertement les couples de même sexe, les personnes non mariées, etc.
D'autre part, grâce aux conditions amicales qui existent à Mexico, FertiHaus/Babymedic a aidé des centaines de futurs parents de diverses nationalités à réaliser leurs rêves, quel que soit leur état civil, leur orientation sexuelle, leur identité de genre, leur origine ethnique, leur situation financière ou leur statut VIH, sans commettre d'actes illégaux ou éthiquement douteux à aucun moment du processus.
Comme tous les pays du monde, le Mexique a de bons et de mauvais endroits et n’est pas entièrement libre du risque de crime. Or, malgré l’image que les médias internationaux choisissent de favoriser (voire fabriquer), le Mexique est en général un pays sûr, et la ville de Mexico encore plus. Rien n'est comme il paraît sur les séries Netflix Reine du Sud ou Narcos, ou alors sur Emilia Pérez.
FertiHaus/Babymedic prend l'éthique et le respect des droits humains très au sérieux, car ils sont au cœur de notre mission et de notre vision. À ce titre, nous avons mis en place des normes strictes pour garantir que nos processus de GPA soient équitables et agréables pour toutes les parties concernées. À savoir :
De notre fondation en janvier 2021 à présent (février 2025), nous avons facilité presque 200 naissances —principalement des couples français, mais des parents belges, suisses, anglais, allemands, suédois et américains nous ont également fait confiance—.
Oui, nous avons de nombreuses références. Par exemple, de nombreux groupes créés par d'anciens et futurs parents d’intention (IP) existent sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram ou TikTok. Dans ces réseaux, parmi les agences et cliniques qui sont le plus souvent nommées se trouve BabyBoom, notre agence sœur qui fait partie du groupe avec lequel nous travaillons en collaboration, et sur lequel nous nous inspirons pour les paramètres établis au sein de GPA Solidaire (GSS).
Au niveau psychologique, les futurs parents doivent démontrer une réelle volonté d'exercer leur droit à la parentalité, sans arrière-pensées ni facteurs environnementaux qui mettraient en danger le bon développement du bébé.
Les gestatrices doivent démontrer une réelle volonté d'aider les couples ou les individus dans leur quête de paternité, ainsi qu’un environnement familial sain propice à une GPA réussie, et une compréhension approfondie de leurs droits et obligations potentiels en tant que gestatrices.
Les donneuses doivent déclarer qu'elles ne souffrent d'aucune maladie grave ou héréditaire qui pourrait avoir un impact négatif sur le bébé.
Au niveau socio-économique, les futurs parents doivent (après avoir reçu leur subvention personnalisée, si applicable) démontrer une capacité à remplir leurs obligations financières et à subvenir aux besoins du bébé et d'eux-mêmes.
À leur tour, les gestatrices et les donneuses doivent démontrer que leurs éventuelles compensations auraient le potentiel d’améliorer considérablement leur qualité de vie à court et moyen terme, mais que cette amélioration n’est pas que leur principale motivation et qu’elles ne sont jamais dans une situation de désespoir financier qui pourrait les rendre vulnérables à l’exploitation.
En principe, le programme de GPA solidaire se veut le plus inclusif possible. Cela étant dit, nous devons rester conscients des disparités qui affligent de plus en plus notre monde et de la composante altruiste de ce programme, tout cela à la lumière de notre budget modeste. En tant que tel, nous nous trouvons dans l’obligation d’imposer quelques restrictions d’éligibilité. À savoir :
Le programme sera divisé en 10 étapes qui correspondent à 10 factures à payer et qui seront payées progressivement au fur et à mesure des étapes.
Non, étant donné que les normes industrielles en vigueur au Mexique exigent que les dons de gamètes soient anonymes et que, d'un point de vue juridique, les conflits de paternité avec votre donneuse seraient extrêmement risqués si vous vous connaissiez personnellement.
D’un côté, parce que nos donneuses souhaitent rester anonymes et qu’il faut respecter ce désir. Et d’un autre côté, parce que c’est grâce à cet anonymat que l’on peut obtenir la rétractation notarisée des gestatrices à faveur des parents d’intention.
Pour le bien-être de votre bébé, de votre (vos) gestatrice(s), et de vos finances. En effet, vu qu’il n’y aura aucun lien génétique entre la gestatrice et votre fils/fille, et vue la grande quantité d’éléments à prendre en compte pour sélectionner la meilleure gestatrice, c'est à l'équipe médicale et psychologique de la choisir selon les besoins spécifiques à chaque cas. Cette méthode nous donne de très bons résultats depuis des années, et elle nous permet également de changer de gestatrice autant de fois que nécessaire dans les cas où les tests de grossesses sont négatifs, sans aucune implication financière de la part des parents d’intention.
Pour votre sécurité, ainsi que celle de votre gestatrice. Si un conflit quelconque venait à se susciter entre vous, par exemple, nous n’aurions aucune façon de savoir si la dignité et les politiques du contrat ont été respectées à tout moment ou pas. D’autant moins que les barrières linguistiques risquent de provoquer des malentendus très sérieux ou déplaisants qui auraient pu être évités ou mitigés en présence d’un modérateur. Or, une fois le processus terminé, vous serez entièrement libres d’échanger coordonnées si vous le souhaitez.
Les chances de réussite dépendront largement du sperme fourni par le père génétique. Pour cette raison, avant de commencer officiellement un programme, nous devons recevoir de nombreuses analyses qui peuvent être effectuées en France et que nous pouvons vous aider à obtenir. Ceci étant dit, nos chances de réussite sont en général très hautes, à tel point que nous nous réjouissons de rappeler souvent à tous nos patients que « Parmi ceux qui nous font confiance et qui sont éligibles pour nos programmes, personne n’est encore parti sans son bébé! ».
Cela dépendra largement des besoins spécifiques de votre gestatrice, ainsi que des disponibilités au moment de l’accouchement. Nous travaillons avec 8 hôpitaux privés de la plus haute qualité à Mexico et sa périphérie. Vous en visiterez un —où la plupart de nos accouchements se déroulent— lors de votre premier voyage au Mexique.
En raison des restrictions établies par le Ministère de la santé de la République mexicaine. Vous pourrez toutefois rendre visite à votre bébé une fois son période d’observation pédiatrique terminée, et nous serons très heureux de vous y accompagner.
Oui. En vertu du principe ius solis (droit de sol), toute personne née dans le territoire national du Mexique obtient automatiquement la nationalité mexicaine. En vertu du principe ius sanguinis (droit de sang), votre bébé aura également la nationalité française avec le soutien du Consulat français et de nos avocats largement expérimentés.
Puisque le(s) bébé(s) sera (seront) français, et que vous allez repartir avec l’acte de naissance français que le consulat vous fournira, ainsi qu’avec un laissez-passer français délivré par les autorités françaises, vous devriez pouvoir rentrer en France sans aucune difficulté. D’autant plus que votre fils ou fille portera le même nom de famille et aura la même nationalité que son père biologique.
Nous avons hâte de vous accueillir chez GSS ! Si vous souhaitez commencer dès maintenant, la première chose à faire est de remplir notre questionnaire afin que nous puissions valider votre pourcentage de subvention, et ce, sous 24 heures.
Une fois que votre éligibilité aura été confirmée, le futur père biologique du bébé devra passer tous les tests médicaux
Si tout est en ordre et que vous êtes jugé(e)(x) éligible pour continuer (ce qui est le cas la plupart du temps), nous vous recontacterons avec notre catalogue de donneuses.
Dès que vous aurez choisi une donneuse, vous pourrez commencer à organiser votre premier voyage au Mexique, au cours duquel vous ferez notre connaissance à tous, pourrez visiter l'hôpital, la clinique, rencontrer les gynécologues et pédiatres, notre avocat, notre notaire… Ce sont quelques jours intenses que vous n’oublierez jamais.
Veuillez noter que trois jours d'abstinence d’activité sexuelle sont requis avant le dépôt de sperme qui servira à l'obtention de la création embryonnaire et la FIV.
Supposons que nous sommes le 1er janvier et que vous choisissez aujourd'hui votre donneuse d'ovules. Elle sera informée immédiatement et devra prendre des contraceptifs pendant 15 jours pour stimuler sa production d'ovules, donc sa séance de capture aura lieu le 16 janvier.
En attendant, parce que vous avez tellement hâte de tenir votre bébé dans vos bras le plus tôt possible, vous avez pris le premier vol disponible pour Mexico et vous êtes arrivée le 9 janvier.
Après quelques jours de repos et de visites, vous venez à notre bureau le 13 janvier pour signer le contrat notarié et effectuer votre premier dépôt de sperme, ayant respecté le seuil d'abstinence sexuelle depuis le 10 janvier.
Trois jours plus tard, le 16 janvier, vous effectuez votre deuxième dépôt de sperme. Comme c'est aussi la date de capture de votre donneuse (même si vous ne la verrez pas), vos embryons seront créés en frais aujourd'hui.
Le 22 janvier, notre personnel de laboratoire vérifie combien d'embryons ont survécu et quelle est leur qualité. Si vous avez demandé un test PGTA, vous devez également être informée du sexe des embryons et de la présence d'anomalies chromosomiques éventuelles à ce moment-là. Sur cette base, vous pouvez choisir le ou les embryons que vous souhaitez transférer dans l'utérus de votre gestatrice.
En attendant, une gestatrice vous sera attribuée et une demande d'assurance sera envoyée en son nom. Malheureusement, pour éviter la fraude à l'assurance, très courante dans les années 1980, les compagnies d'assurance prennent au moins 10 mois pour lancer officiellement la couverture. Nous devons donc laisser une période de latence de trois mois avant que la gestatrice puisse commencer en toute sécurité sa préparation endométriale (c'est-à-dire commencer à prendre des contraceptifs et d'autres médicaments pour épaissir son endomètre).
Une fois la latence terminée (vers le 16 avril), la gestatrice commencera la préparation endométriale, qui prendra un mois (jusqu'au 16 mai). Ce jour-là, son gynécologue fera un contrôle et, si l'endomètre est optimal, le transfert aura lieu dans les jours qui suivent (17/18 mai). C'est là que commence la période d'attente la plus difficile (environ un mois).
Vers le 18 juin, votre gestatrice fera un test Bêta (de grossesse) chez son gynécologue. Si le test est positif, le bébé est officiellement en route ! Vers le 1er juillet (environ huit semaines après les dernières règles de la gestatrice), le bébé aura survécu à la période statistiquement la plus risquée et il est donc beaucoup plus probable que la grossesse se déroule bien. Si aucune complication ne survient, votre bébé devrait arriver environ neuf mois après la date du transfert, ce qui correspond à peu près au 17 février de l'année suivante.
Ainsi, dans un scénario parfaitement bleu, l'ensemble du processus prendrait au minimum un an, un mois et deux semaines. En pratique, en raison des aléas de la planification des IP et des contretemps mineurs qui sont naturels à tout processus GPA, la durée moyenne d'un programme dans notre clinique est d'un an et quatre mois.
Absolument pas. L’un des principes fondamentaux de notre organisation est de traiter chaque cas avec le même niveau de respect et de sérieux.
Ainsi, notre promesse envers vous, est de vous assurer que l’argent ne marquera jamais aucune différence dans nos accompagnements et notre aide apportée au projet de votre vie.